Un article de Thierry Brulavoine, Michel Lepesant et Christine Poilly, tous trois membres du Mouvement des objecteurs de croissance.
Publié sur le site de Marianne, novembre 2014
« L’ouragan Katrina a été une expression extrêmement visible, y compris médiatiquement, du racisme environnemental. Les personnes âgées et les Noirs, issus majoritairement des classes populaires, ont particulièrement souffert au moment où l’ouragan a frappé, mais aussi dans la durée. Comme le montre Naomi Klein dans La Stratégie du choc, Katrina a été l’occasion pour la municipalité de gentrifier le centre-ville, et d’empêcher le retour des populations noires pauvres. » À lire sur le site de Bastamag, juin 2014
Fruit du capitalisme, le sport moderne est un outil de la société de croissance.
Par le collectif « Un projet pour la décroissance » À lire sur le site de Reporterre, juin 2014
Entretien avec Philippe Bihouix, ingénieur spécialiste de la finitude des ressources minières et de son étroite interaction avec la question énergétique. A lire sur Rue 89, juin 2014
Si elle ne remet pas directement en cause le capitalisme, l’idée d’un revenu inconditionnel est un véritable projet de société qui répond à de nombreuses problématiques du XXIème siècle. Elle qui fut défendue notamment par André Gorz, elle permet de sortir d’une « société du travail sans travail », selon les mots d’Hannah Arendt. Si le film démontre que l’aspect comptable du revenu de base ne pose aucun problème, le débat à mener est d’ordre culturel : il s’agit de s’appuyer sur d’autres besoins que ceux du capitalisme, d’aller vers la décroissance dans les pays occidentaux et vers le « développement » dans les pays dits « du Sud », de faire le deuil d’une main d’œuvre précaire forcée d’accepter les boulots dont personne ne veut, d’assumer l’interdépendance qui unissent les membres d’une société. Voir ici une vidéo pour comprendre l’idée. Lire ici un article de Mona Chollet et Thomas Lemahieu, 2011.
Comment expliquer qu’une partie de la classe ouvrière procure aux conservateurs les moyens politiques de démanteler les protections autrefois arrachées par le monde ouvrier ?
Dans la préface du livre de Thomas Franck, « Pourquoi les pauvres votent à droite ? » (paru en août 2013 aux éditions Agone), Serge Halimi livre une analyse passionnante, à découvrir intégralement ici. Pour celles et ceux qui ne veulent pas lire l’intégralité de ce texte, j’en reprends ci-dessous quelques extraits (et j’espère que ça vous donnera l’envie de tout lire !)
Je vous en propose des extraits choisis, l’idée étant de vous donner envie de lire l’ensemble de ce texte…
Comme le proclamait Karl Marx : « Ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine leur être ; c’est, inversement, leur être social qui détermine leur conscience ».
Par Alain Gresh, à propos de « Islam et capitalisme » de Maxime Rodison. À lire sur le blog du Diplo Nouvelles d’Orient, avril 2014
Démarches collectives pour l'émancipation et la transformation sociale