De mouvements de luttes parfois violents au néolibéralisme, des émeutes comme forme de revendication politique à la politique de la ville, que recouvre le concept d’empowerment ?
Émission La Grande Table, diffusée en mars 2013 sur France Culture. Pour écouter le podcast.
Lire un relevé d’extraits, l’idée étant de vous donner envie d’écouter toute l’émission…
« L’ouragan Katrina a été une expression extrêmement visible, y compris médiatiquement, du racisme environnemental. Les personnes âgées et les Noirs, issus majoritairement des classes populaires, ont particulièrement souffert au moment où l’ouragan a frappé, mais aussi dans la durée. Comme le montre Naomi Klein dans La Stratégie du choc, Katrina a été l’occasion pour la municipalité de gentrifier le centre-ville, et d’empêcher le retour des populations noires pauvres. » À lire sur le site de Bastamag, juin 2014
Fruit du capitalisme, le sport moderne est un outil de la société de croissance.
Par le collectif « Un projet pour la décroissance » À lire sur le site de Reporterre, juin 2014
À l’heure où la gentrification est à l’oeuvre dans les zones populaires des grandes villes, ces nouveaux quartiers vont-ils accentuer l’exil des plus pauvres ?
Par Camille Warmé A lire sur le site des Inrocks, mai 2014
Entretien avec Philippe Bihouix, ingénieur spécialiste de la finitude des ressources minières et de son étroite interaction avec la question énergétique. A lire sur Rue 89, juin 2014
L’illusion « réaliste » tue la démocratie.
Le recentrage sans fin du PS doit être qualifié de droitisation.
Entretien avec Eric Fassin, sociologue A lire sur le site de Libération, mai 2014
Si elle ne remet pas directement en cause le capitalisme, l’idée d’un revenu inconditionnel est un véritable projet de société qui répond à de nombreuses problématiques du XXIème siècle. Elle qui fut défendue notamment par André Gorz, elle permet de sortir d’une « société du travail sans travail », selon les mots d’Hannah Arendt. Si le film démontre que l’aspect comptable du revenu de base ne pose aucun problème, le débat à mener est d’ordre culturel : il s’agit de s’appuyer sur d’autres besoins que ceux du capitalisme, d’aller vers la décroissance dans les pays occidentaux et vers le « développement » dans les pays dits « du Sud », de faire le deuil d’une main d’œuvre précaire forcée d’accepter les boulots dont personne ne veut, d’assumer l’interdépendance qui unissent les membres d’une société. Voir ici une vidéo pour comprendre l’idée. Lire ici un article de Mona Chollet et Thomas Lemahieu, 2011.
« Transposée sur le terrain de l’éducation, cette philosophie implique que le système scolaire doive se penser et se gérer sur le modèle de l’entreprise privée, mais aussi et surtout que l’éducation doit désormais se concevoir comme visant l’adaptation fonctionnelle des individus aux exigences de l’économie, toujours saisies en extériorité et données comme décisives et indiscutables. »
Entretien avec Norman Baillargeon, philosophe de l’éducation. À lire sur le site de Voir Montréal, 2013
Démarches collectives pour l'émancipation et la transformation sociale